Tous les logements sont équipés d’une climatisation réversible, d’une salle de bain privative.
Il était une fois une histoire d’amour. Une histoire de cœur entre deux passionnés de la vie, de ses plaisirs fugaces, de sa beauté simple et profonde. Quand la vie urbaine devenait trop bruyante, Michael et Sofia, amoureux du savoir-recevoir, se promettaient un objectif commun : s’installer sur la terre d’origine de Madame, Marrakech. Pas au cœur de la ville — non, un peu plus loin. Juste assez pour entendre les oiseaux chanter, l’eau ruisseler, sentir la terre sous leurs pieds et contempler un ciel sans obstacle.
Jnan Lotf est né d’un rêve. Celui de Nadia Benmoussa, architecte et décoratrice marocaine, passionnée de feng shui, d’artisanat et de nature. Là où il n’y avait que friche et silence, elle a façonné un jardin habité, une maison vivante, pensée pour reconnecter l’humain à l’essentiel.
Patiemment, elle a dessiné les volumes, choisi chaque pierre, chaque essence de bois, chaque ligne de lumière.
Galets, gypse, cèdre millénaire, objets rapportés de ses voyages – tout ici porte sa signature sensible et intuitive.
Jnan Lotf, c’est une maison d’hôtes, mais c’est surtout un geste d’amour.
Celui d’une femme qui, entre potager, oliveraie, chambres immersives et art de recevoir, nous offre un lieu rare, où l’on vient pour ralentir, respirer, et se souvenir de ce qui compte.
Ils y trouvèrent une oliveraie baignée de lumière, une maison aux murs orangés, et en feront leur lieu de vie. Un lieu pour ralentir, respirer, recommencer. Une maison ouverte, un jardin qui soigne, des animaux, un potager, une grande table pour ceux qui passent… et pour ceux qui restent.
Ce lieu ne pouvait pas rester seulement le leur. Il fallait l’offrir au monde. Offrir un peu de douceur, un peu de lumière, le temps d’une tendre parenthèse hors du tumulte.
Une ferme habitée, partagée, aimée.
Chez nous, on vit au rythme du soleil et des saisons.
On soigne les animaux, on arrose les plantes, on récolte ce que l’on sème.
Les enfants y apprennent la patience, les adultes y retrouvent l’essentiel.
C’est un lieu de lien, entre terre et table, entre gestes simples et plaisir vrai.
